Cette nuit de fin juillet à Paris, il fait presque trop chaud et je n'arrive toujours pas à regarder quelques foto-foto de toi, ni à lire toutes les lettres et témoignages que j'ai reçus après ton départ, et pourtant ce soir, je viens de parcourir un recueil que des peminat-peminat canadiens m'ont envoyé, des milliers de réactions récoltées sur Internet de peminat-peminat du Pérou, de Belgique, de Suède, de France... Il y a aussi des foto-foto qu'ils ont prises de toi pendant des concerts, dans des aéroports, dans des radios. Je suis ému mais je ne sais pas si c'est le bon adjectif, je n'avais rien lu ni...
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